Déjà,
en 1992, André Tillieu, familier de la “bande à
Brassens” dont il fut l’ami et le confident, disait
alors de lui :
«
Je reconnais votre voix et votre chant : ce sont ceux
d’un homme qui persiste, en cette époque de béton, de
plastique et de 220 volts, à jouer sur son petit pipeau
des airs qui n’ont pas d’âge et à aligner des mots qui
n’en font qu’à leur tête. Vous avez fermé la porte
devant le siècle et vous avez bien fait. Il ne le vous
pardonnera pas et vous vous en foutez royalement. Je me
suis régalé à batifoler parmi vos chemins qui fuient
comme la peste les grand’routes de la banalité... »