Sublime
épithète, Tu colles à
ma peau ; Vois-tu, j’ai
en tête Qui se
diffuse ob- -tinément, Cette
musiquette Que mon bel
appeau Module en
cachette Et qui
m’abuse ob- -scurément.
Ô toi que
j’adore,
Toi qui m’as conquis,
Toi qui m’as conquis, je t’adore !
Rien ne me
rebute Aux jeux de
l’esprit : Le tien, je
suppute, N’a rien d’un
prix ex-
-orbitant ! Bel objet de
culte, Joli gabarit,
Joue donc de
ma flûte Ou vraiment
est-ce ex- -travagant ?
Ô toi que
j’adore,
Toi qui m’as conquis,
Toi qui m’as conquis, je t’adore !
C’est toi ma conquête
Qui poses alanguie…
Et pour moi qui quête,
Au seuil de ton con-
-sentement,
Je tiens, ma coquette,
À garder l’exquis
Élan qui nous guette
Au fond de ton con-
-tentement.
Ô toi que
j’adore,
Toi qui m’as conquis,
Toi qui m’as conquis, je t’adore !