Et
la jeunesse s’effarouche Au regard des amants blessés La peur que le soleil se couche Et s’oublient les serments
caressés
La peur de n’être jamais qu’au
coeur de l’ombre Un souvenir toujours redouté Que s’abattent les masques et
que tout s’effondre Au pâle éclat de sa fierté