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« Jacques Goudeaux possède cette forme supérieure de l’imagination qui érige en symboles les objets sensibles, et fait transparaître l’universel dans l’expression du particulier… Quelles qu’aient été les influences de ses aînés, inconscientes ou pas, avouées ou non, le vrai poète trouve son chemin. Depuis une vingtaine d’années, Jacques Goudeaux a trouvé le sien et nous entraîne avec lui à travers siècles et vallons… »


Né en 1957 à Brive-la-Gaillarde, il s’intéresse très tôt à la poésie. D’ailleurs, son premier poème, Les bohémiens (Volume A) fut écrit vers l’âge de douze ans avant d’être mis en musique quelques années plus tard.

Il s’est fortement imprégné des auteurs classiques en remontant jusqu’aux sources de la poésie française.


À plusieurs reprises, il s'est distingué lors de concours de poésie ou de chansons avec des titres comme Ce soir il pleut…, À Brassens (Vol. C), L’étrange voyage (Vol. C) ou encore Soir d’été (Vol. A)…


Auteur, compositeur, il tient cependant à se démarquer de la variété. Ses chansons n’ont pas la même spécificité, le même écho, ni le même registre. Plus de 160 ont été écrites à ce jour dont plus d'une centaine enregistrées.

D’inspiration classique tant par l’écriture que par la mélodie ou l’accompagnement, le rigorisme qu’il s’impose à tous les stades de l’élaboration ainsi que la variété de ses sources d’inspiration déterminent l'originalité de sa création.


Interprète " par défaut " comme il se plaît à le répéter, il préférerait laisser à d’autres le soin d’interpréter ses chansons…


Depuis peu, Jacques Goudeaux a élargi le champ de ses créations en se consacrant à une toute autre forme d’écriture... avec la parution d’un roman « L’Orphelin de jamais » puis de nouvelles avec « Le fanal ».

En 1992, André Tillieu, familier de la “bande à Brassens” dont il fut l’ami et le confident, disait de lui :


« Je reconnais votre voix et votre chant : ce sont ceux d’un homme qui persiste, en cette époque de béton, de plastique et de 220 volts, à jouer sur son petit pipeau des airs qui n’ont pas d’âge et à aligner des mots qui n’en font qu’à leur tête. Vous avez fermé la porte devant le siècle et vous avez bien fait. Il ne le vous pardonnera pas et vous vous en foutez royalement. Je me suis régalé à batifoler parmi vos chemins qui fuient comme la peste les grand’routes de la banalité ...»

Ses poèmes à la fluidité et au style d’une élégance retenue mais soutenue portent l’estampille de son travail et de son exigence dont il fait miel dans notre monde carnassier. Ciseleur de mots, piochant dans son vivier d’images, Jacques GOUDEAUX incite l’esprit à un vagabondage où l’expression du particulier révèle l’universalité des caractères et des sentiments.…


                                  Michel BOMBART

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